Retrouver son enfant suite à un accouchement sous X

Katia a pu retrouver son fils trente ans plus tard, en utilisant les services d’un détective.

L’accouchement sous X est traditionnellement défini comme la possibilité pour une femme d’abandonner son nouveau-né aux services de l’État et le droit de demeurer anonyme aux yeux de la société.

Cette fiction juridique du droit français permet à une femme, dite parturiente, d’accoucher puis d’abandonner le nouveau-nésans que soit révélée son identité, ni sa responsabilité engagée (délit de délaissement d’enfant) ; l’accouchement n’ayant censément pas eu lieu. Le droit français prévoit toutefois, sous conditions, la possibilité de lever le secret. Des mécanismes différents (tous ne recourent pas au mécanisme de la fiction juridique), mais à la finalité similaire, existent dans d’autres pays.

La parturiente peut laisser son nom dans une enveloppe scellée en papier, ce qui, en cas de décès durant l’accouchement, facilite la rédaction de l’acte de décès.

Les motivations pour l’accouchement sous X sont diverses : impossibilité matérielle, psychologique ou sociale de s’occuper de l’enfant, absence de désir d’élever l’enfant, enfant né hors mariage ou issu d’un viol, absence du père de l’enfant. (Wikipédia)

Accouchement sous X, accouchement anonyme, accouchement avec abandon, plusieurs termes utilisés, qui renvoient à une définition juridique précise, celle de l’accouchement sous le secret,

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